Desperatio
for piano
(film)
ISMN : 979-0-2325-3980-5
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Desperatio is the 5th piece for piano, developed from a miniature with the same title and written for the mentioned instrument and film. It was written for Ian Pace, not only as a pianist who uses his fingers on the keyboard but as a complete performer, changing his way of playing as the score asks.
Again, as in other pieces, there is a collaboration between the composer and the film artist, Daniel Antero, being the two mediums (music and film) used intertwined in such a way that they need to be there at the same time and place.
The text by André Breton ‘Je connais le désespoir dans ses grandes lignes’ was the main inspirational source but also other individualities as Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Salvador Dali and Man Ray among others, chasing Patrícia Sucena de Almeida’s works.
The main gesture used for the film/music is the nervous flickering of a closed human eye, which symbolizes the despair of a being. At a certain point it opens, but we never know when, being the pupil and iris, at a certain point, transformed into a pearl (among other ‘actions’) coming methamorically from Breton’s text “Un collier de perles pour lequel on ne saurait trouver de fermoir et dont l'existence ne tient pas même à un fil, voilà le désespoir.”
"Je connais le désespoir dans ses grandes lignes. Une forme très petite, délimitée par un bijou de cheveux. C'est le désespoir. Un collier de perles pour lequel on ne saurait trouver de fermoir et dont l'existence ne tient pas même à un fil, voilà le désespoir. Le reste, nous n'en parlons pas. Nous n'avons pas fini de deséspérer, si nous commençons (...) Dans ses grandes lignes le désespoir n'a pas d'importance. C'est une corvée d'arbres qui va encore faire une forêt, c'est une corvée d'étoiles qui va encore faire un jour de moins, c'est une corvée de jours de moins qui va encore faire ma vie." André Breton
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